C’est une phrase que beaucoup de personnes prononcent un jour : “Je ne comprends pas, je mange peu et pourtant je prends du poids…”

Si cette situation vous parle, sachez que vous êtes loin d’être seul(e). Cette impression de grossir malgré une alimentation restreinte est fréquente et peut s’expliquer par plusieurs facteurs souvent méconnus.

Dans cet article, on vous aide à comprendre les vraies raisons derrière cette prise de poids apparemment inexplicable.

Le métabolisme, un élément central trop souvent sous-estimé

Le métabolisme de base correspond à la quantité d’énergie que votre corps dépense au repos, pour assurer ses fonctions vitales (respirer, digérer, réguler la température, etc.). Il varie selon plusieurs critères : l’âge, le sexe, la génétique, la masse musculaire, l’état hormonal…

Avec l’âge ou après des régimes trop stricts, le métabolisme peut ralentir. Résultat ? Même en mangeant moins, vous brûlez moins de calories. Et si vos apports dépassent — même légèrement — vos dépenses, le corps stocke cet excédent… sous forme de graisse.

Vous mangez peu… mais grignotez-vous ?

Souvent, on a l’impression de manger peu aux repas, mais on oublie les petits “extras” de la journée : un carré de chocolat, une poignée d’amandes, une boisson sucrée, un morceau de pain pendant la cuisson… Ces petites choses paraissent insignifiantes, mais elles peuvent rapidement faire grimper l’addition calorique.

Et puis, certains aliments très denses en calories (fromage, charcuterie, plats industriels) peuvent faire exploser les apports sans rassasier.

Manger peu ne veut pas dire manger équilibré

Autre erreur fréquente : penser que manger moins suffit à maigrir. En réalité, la qualité des aliments est tout aussi importante. Si votre alimentation est pauvre en fibres, en protéines et en bons lipides, mais riche en produits ultra-transformés ou trop sucrés, cela peut perturber votre sensation de satiété, dérégler votre glycémie, et favoriser le stockage des graisses.

Parfois, il vaut mieux manger un peu plus, mais mieux.

Le rôle du stress, du sommeil et des hormones

Le poids ne dépend pas uniquement de ce qu’on mange. Le stress chronique, le manque de sommeil, ou encore les dérèglements hormonaux (thyroïde, ménopause, syndrome des ovaires polykystiques…) peuvent aussi contribuer à une prise de poids. Ces facteurs influencent l’appétit, le métabolisme, la rétention d’eau et le stockage des graisses.

Il est donc essentiel de considérer votre santé dans sa globalité.

Et si vous faisiez un vrai bilan ?

Quand on a l’impression de grossir malgré une alimentation “raisonnable”, il peut être utile de faire un bilan personnalisé :

• Analyse corporelle avec une balance impédancemètre
• Évaluation de vos habitudes alimentaires
• Vérification de vos apports réels VS vos besoins
• Et parfois un bilan sanguin ou hormonal, en lien avec un professionnel de santé

Chez JFG Clinic, par exemple, nous vous proposons un accompagnement complet : bilan minceur, coaching alimentaire, suivi personnalisé, et technologies de pointe pour vous aider à atteindre vos objectifs en douceur, sans frustration.

En résumé

Oui, on peut grossir en mangeant peu, et non, ce n’est pas dans votre tête. Le corps est une machine complexe, et de nombreux paramètres peuvent venir perturber l’équilibre. Si vous vous sentez concerné(e), ne restez pas seul(e) face à ces questions : faites-vous accompagner par des experts de la minceur et du bien-être.